Et le prix de la meilleure newsletter de l'année est attribué à…
L'actu de la semaine du 14 décembre
Bienvenue à bord de Nostick Reloaded, votre passerelle vers les mondes infinis du jeu vidéo. Chaque dimanche matin, nous explorons l'inconnu, repoussons les limites de l'imaginaire et découvrons les histoires qui ont façonné la semaine vidéoludique. Que vous soyez un capitaine chevronné ou un explorateur débutant, préparez-vous à plonger là où aucune personne n'est jamais allée.
On vide le backlog de la semaine
Par Mickaël
Les actus que vous avez peut-être manquées (aux Game Awards)
🪙 Le premier trailer pour The Witcher IV envoie du bois — CD Projekt a fait parler la poudre en balançant le premier trailer cinématique pour The Witcher IV. D'abord, c'est très beau, et puis on apprend que le prochain jeu de la franchise mettra en scène une Ciri vraiment vénère.
⚔ Elden Ring aura droit à un spin-off, Nightreign, dès 2025 — On n'a pas fini de jouer à Elden Ring. Après l'extension « Shadow of the Erdtree » cette année, FromSoftware balancera en 2025 Nightreign, un spin-off à jouer en co-op à 3. Curieux et sexy à la fois.
🚀 Intergalactic: The Heretic Prophet, le nouveau jeu de Naughty Dog — Naughty Dog sort enfin des chemins balisés d'Uncharted et de The Last of Us avec Intergalactic: The Heretic Prophet, sa future franchise PlayStation à l'univers rétro-futuriste qui fait bien saliver.
🎮 Nos chouchous des Game Awards : Slay the Spire II, Rematch, Split Fiction, Virtua Fighter et les autres — Vu que le monde part en couilles, pourquoi ne pas rester chez soi pour jouer à des jeux vidéo ? Les prochains mois (et années !) s'annoncent bien chargés à en croire notre sélection de trailers des Game Awards.
🟡 Test de la PlayDate, la console néo-rétro — La petite console jaune de Panic n'a certes pas fait parler d'elle aux Game Awards, mais ça ne nous a pas empêché d'en publier un test super complet.
L'image de la semaine
Activision n'est pas le dernier éditeur à utiliser l'IA générative de chie pour créer à très peu de frais des illustrations pour Call of Duty. L'entreprise n'est malheureusement pas la seule à exploiter une technologie en partie basée sur le pillage massif d'artistes, sauf que ça se voit.
Des joueurs de Black Ops 6 ont ainsi été accueillis par un écran de chargement présentant l'image de Necroclaus, un père Noël zombifié… à six doigts. Une atrocité caractéristique de l'IA générative, qui a toujours beaucoup de mal avec les mains. Cette bizarrerie anatomique est devenue un meme, à tel point qu'on se demande si quelqu'un a pris quinze secondes chez Activision pour valider le visuel (sans doute pas).
Le même jour ou presque, une autre image de main douteuse est apparue lors d'un événement organisé dans le mode zombie :
Le moins qu'Activision puisse faire serait de signaler quand une image a été générée par IA. Steam exige désormais que les éditeurs et développeurs précisent la manière dont ils utilisent cette technologie dans leurs jeux, mais il n'y a rien de tel dans la fiche produit du dernier Call of.
Et le problème ne se limite pas aux images. TheGhostOfHope, fuiteur spécialisé CoD, a expliqué que pratiquement tous les comédiens de doublage de l'équipe du mode Zombies avaient quitté le navire en raison du manque de protection concernant l'exploitation de l'IA dans leurs contrats. Autrement dit, ils craignent qu'Activision se serve des enregistrements de leurs voix pour créer de nouveaux dialogues, sans rémunérer les acteurs.
C'est ce qui explique le changement de voix de plusieurs protagonistes du mode, dont Samantha Maxis et William Peck, jusqu'à présent doublés par Julie Nathanson et Zeke Alton. Ce dernier, sous le pseudo Zekethevoice, a confirmé sur Reddit que son personnage avait été recasté, l'éditeur ayant a priori refusé de donner des assurances sur l'exploitation de l'IA.
Vite lu, bien lu
Ouf, il y aura des jeux pour la PS5 en 2025
L'année touchant à sa fin, c'est l'heure des bilans pour tout le monde y compris pour PlayStation, et force est de constater qu'il est plutôt léger concernant les jeux. C'est entendu, il y a eu le banger Astro Bot (jeu de l'année !), mais c'est le seul titre first party qui a su illuminer l'année de Sony. Le constructeur a essuyé l'un des plus gros flops de l'histoire du jeu vidéo avec Concord.
Heureusement, PlayStation a pu s'appuyer sur les éditeurs tiers comme Square Enix avec Final Fantasy VII Rebirth, Game Science avec Black Myth: Wukong ou encore Shift Up avec Stellar Blade. Sans eux, 2024 aurait été bien calme… Hiroki Totoki, le président de Sony Interactive Entertainment, a affirmé début novembre qu'à partir de dorénavant, les joueurs auront droit chaque année à (au moins) un jeu issu d'une grande franchise PlayStation. Il faut se contenter de peu.
On connait déjà le programme pour 2025 : Sony a mis en ligne cette semaine une vidéo présentant quelques uns des jeux qui auront l'insigne honneur de passer une tête sur PlayStation.
Il y a dans le tas quelques exclusivités comme Ghost of Yōtei et Death Stranding 2: On the Beach, et aussi pas mal de titres multiplateformes dont Monster Hunter Wilds, Like a Dragon: Pirate Yakuza in Hawaii, Assassin’s Creed Shadows, Borderlands 4 ou encore Doom: The Dark Ages (un jeu Xbox). Sony aurait pu ajouter Indiana Jones et le Cercle Ancien, une autre « exclusivité » Xbox qui sortira sur PlayStation au printemps. Et GTA 6 est complètement absent…
Aurons-nous droit à un jeu des studios PlayStation en plus l'année prochaine ? Le sort des survivants de la stratégie du jeu service, Fairgame$ et Marathon, est toujours dans la balance.
Le conseil du patron de Marvel Rivals aux autres jeux service
Marvel Rivals peut-il réussir là où d'autres jeux service du même tonneau ont misérablement échoué cette année ? Ça n'a rien d'impossible : le hero shooter de NetEase, qui lorgne très clairement sur Overwatch, a dépassé le seuil des 10 millions de joueurs en quelques jours. Et le nombre de joueurs connectés simultanément sur Steam demeure très élevé, entre 300 000 et 400 000.
Bien sûr, il peut s'agir d'une passade : tout le monde se jette sur la nouveauté avant de retourner à ses petites habitudes. Du côté de NetEase, on espère retenir les joueurs même si la concurrence est rude. « Le changement, ça a un coût », a expliqué Thaddeus Sasser, le directeur du jeu, à VideoGamer. Il l'illustre avec un exemple parlant : « J’ai déjà investi dans Overwatch, j’ai 15 skins pour Pharah, je ne vais nulle part ».
Dans ces conditions, comment détourner les joueurs de leur marotte habituelle ? Le secret, c'est de « trouver une raison pour laquelle les gens ont envie de venir jouer à votre jeu, et je crois que Marvel Rivals y parvient parfaitement grâce aux super-héros », affirme-t-il. « Si nous avons bien fait notre travail, ils adoreront ce qu’ils jouent et voudront en jouer encore plus ». Pour le moment, le pari est en passe d'être gagné, mais Thaddeus Sasser garde la tête froide.
« La vérité, c’est que je pense que personne ne peut prédire [le succès d'un jeu] avec précision, sinon l’industrie serait radicalement différente aujourd’hui ». Il poursuit : « Il y a beaucoup de jeux dont on se dit : "ça va cartonner", et puis ils font un flop, ou à l’inverse, on pense : "ça va se planter", et ils rencontrent un succès incroyable ».
Il est néanmoins un jeu pour lequel on pouvait prédire assez aisément le four : Concord. Dès le départ, l'affaire semblait mal engagée et ça n'a pas loupé. Deux petites semaines après son lancement Sony a arrêté les frais.
Pour Thaddeus Sasser, l'explication est simple : le shooter de PlayStation n'apportait aucune valeur ajoutée unique qui lui aurait permis de se distinguer d'Overwatch ou d'un autre jeu du même tonneau.
Marvel Rivals a trouvé la formule, mais est-ce qu'elle tiendra ? Et question subsidiaire, est-ce que le jeu sera rentable pour NetEase ? On ne s'en fait pas trop pour ces deux questions, pour le moment du moins. Les joueurs ont l'air intéressés, et puis Marvel Rivals fait partie des « top sellers » sur Steam : ça dépense sec dans la boutique de skins et pour le battle pass.
L'astuce simple pour remporter le GOTY, les actionnaires la détestent
Invité à remettre le trophée de jeu de l'année durant les Game Awards, Swen Vincke le patron de Larian a recadré l'industrie du jeu vidéo dans un discours percutant. « C’est incroyablement simple » de gagner le hochet de jeu de l'année, affirme celui qui a tout remporté avec Baldur's Gate 3 : « Un studio crée un jeu parce qu’il veut créer un jeu auquel il aimerait jouer lui-même. Il l’a conçu parce que [ce jeu] n’existait pas encore ».
Les développeurs qui gagnent des prix ne créent pas de jeux « pour augmenter leur part de marché. Ils ne l’ont pas fait pour servir une marque. Ils n’avaient pas à atteindre des objectifs de ventes arbitraires ou à craindre d’être licenciés s’ils ne les atteignaient pas ».
Les responsables des studios qui décrochent le pompon ont « interdit » aux développeurs de « bourrer le jeu de choses dont le seul but était d’augmenter les revenus et qui ne servaient pas le design du jeu ». Ces studios « n’ont pas traité leurs développeurs comme des chiffres sur une feuille de calcul. Ils n’ont pas traité leurs joueurs comme des utilisateurs à exploiter. Et ils n’ont pas pris de décisions qu’ils savaient à courte vue en fonction d’un bonus ou d’une politique ».
L'objectif d'un GOTY, c'est « que les joueurs s’amusent », et les studios vainqueurs ont compris que « si les développeurs ne s’amusent pas, personne ne s’amusera. Ils ont compris la valeur du respect : que s’ils traitaient bien leurs développeurs et leurs joueurs, ces mêmes développeurs et joueurs leur pardonneraient quand les choses ne se passeraient pas comme prévu ». Mais surtout, « ils aiment les jeux. C’est vraiment aussi simple que ça. »
Un message pas si compliqué finalement. Espérons qu'ils parviennent aux oreilles des décideurs !
Les sorties de la semaine
Par Félix
La vallée de l’étrange
L’une des grosses sorties de la semaine a eu lieu sur mobile avec Monument Valley 3, un puzzle-game jouant sur la perspective à la manière des tableaux d’Escher. On doit y amener un personnage d’un point à l’autre en créant des chemins impossibles, que ce soit en rapprochant des objets sur deux plans ou en faisant pivoter des éléments. Si le titre est toujours aussi joli, il reste malheureusement assez rigide dans le sens où il laisse assez peu de liberté aux joueurs. Les testeurs saluent un univers adorable servant un gameplay qui n’a pas beaucoup évolué et une histoire oubliable. C’est uniquement disponible pour les abonnés à Netflix sur iOS et Android : à vous de voir si vous êtes en manque de joli puzzle-game en ce moment.
Il n’en restera Kain
Les petits gars d'Aspyr ont ressuscité cette semaine la licence Legacy of Kain: Soul Reaver, deux jeux d'action-aventure signés Crystal Dynamics sortis en 1999 et 2001. Cette saga ayant connu un certain succès d’estime a surtout marqué par son ambiance gothique et son grand monde ouvert sans temps de chargement. Ce remaster fêtant les 25 ans est visiblement réussi en tout point : les textures et les personnages ont été complètement retravaillés, avec la possibilité de retrouver les graphismes du titre d’origine d’un simple clic. Plusieurs petits ajouts ont été apportés pour moderniser l’aventure sans pour autant la casualiser. Les testeurs notent que le jeu reste d’ailleurs fidèle à lui-même côté gameplay, ce qui risque de rebuter plus d’un nouvel arrivant (ça a pris un coup de vieux). Les fans pourront de leur côté s’amuser avec tout un tas de contenus bonus, avec des bandes-annonces d’époque ou des niveaux oubliés. 28,99 € sur Steam, Switch, PS4/PS5 et Xbox.
Kletka toi ?
Le jeu bizarro de la semaine est évidemment Kletka, dont le pitch pourrait sortir du rêve fiévreux d’un gamin de 5 ans : ce jeu d'horreur coopératif consiste « à descendre dans un ascenseur qui essaie de vous manger ». En pratique on se retrouve avec 6 copains dans une sorte de gros complexe soviétique sans fin dans lequel on s’enfonce à bord d’un monte-charge à grosse bouche. Il va falloir explorer les différents étages pour chercher des ressources et lui occuper la mâchoire le temps de descendre un peu plus bas. Ce concept chelou est bien aidé par une esthétique flippante à gros polys et quelques bonnes idées. RPS avait apprécié la démo et c’est désormais dispo en early-access pour moins de 10 balles avec des critiques positives. Il y a sans doute de pires manières de tuer une soirée si vous avez quelques potes motivés pour essayer avec vous.
Seppuku, mais pourtant pas assez
Une des autres sorties de cette semaine était The Spirit of the Samurai, un jeu en 2D inspiré de la mythologie japonaise ayant comme particularité d’être réalisé en stop-motion. On y incarne un samurai parcourant une campagne japonaise (ruines, cimetières, villages…) équipé de différentes armes japonaises (katana, lance dari, arc) lui servant à tuer des monstres japonais (yokai, oni). Le titre mélange action et plateformes dans un univers noir bien saignant, mais rate en partie son pari. Les tests évoquent un certain manque de finition dans le gameplay, avec des combats pouvant devenir frustrants à cause des animations en stop-motion plutôt lentes et de hitboxes capricieuses. Le jeu est très linéaire et ne brille pas par ses séquences de plateformes, si bien que les notes oscillent entre le 5 et 6/10. C’est dommage parce que l’ambiance a l’air vraiment top : vous pouvez essayer la démo pour voir si le concept mérite d’y lâcher 15,99 € sur Steam (mais visiblement c’est plutôt non).
Mais aussi
Cette semaine est également sorti Paper Perjury, un jeu indé américain très inspiré de la série Ace Attorney. C’est visiblement rigolo, il y a une démo et ça ne coûte que 15,60 €. Completely Stretchy est un jeu de plateforme en vue FPS aux graphismes sympathiques, mais dont les tests sont assez mitigés, alors renseignez-vous bien avant de balancer les 16,19 € demandés par Steam. L’intriguant jeu d’horreur 10 Dead Doves est également arrivé cette semaine et a l’air chouette si vous voulez vous faire peur et que vous avez 20 € qui traînent. Enfin, Pine: Le temps du deuil promet de vous tirer une larme malgré son nom rigolo. C'est dispo sur Steam, iOS et Switch (8,77 €).
On n'a pas eu le temps cette semaine, mais on pense à eux
Despelote, fou de foot
Le foot dans les jeux vidéo s'incarne habituellement dans des simulations super friquées. Mais Despelote tente quelque chose de beaucoup plus original. C'est un jeu narratif dans lequel on tape la balle dans les rues de Quito, en Équateur, alors que l'équipe nationale est engagée dans la phase finale de la coupe du monde de foot. C'était en 2002, François Bayrou avait alors 51 ans, et pour les gamins des rues comme le héros du jeu, Julián, cela représente tout un monde !
Ce jeu aux graphismes très étonnants n'a rien à voir avec EA Sports FC évidemment, mais il sera quand même question de taper dans le ballon avec ses potes. Pour rendre le jeu encore plus authentique, les deux développeurs Julián Cordero et Sebastián Valbuena ont enregistré les dialogues in situ, dans les rues de la ville. Ambiance assurée !
Cela fait un petit moment que Despelote traine dans le paysage. On en a entendu parler une première fois en 2021. Et l'an dernier, Panic — l'éditeur de Firewatch et Untitled Goose Game, également le créateur de la console Playdate — annonçait avoir pris le jeu sous son aile. Il sortira sur Switch début 2025, et probablement aussi sur PC, PS4/PS5 et Xbox.
The Cabin Factory : la cabane qui fout les chocotes
Les cabanes dans les bois, on les connait. Sous des abords respectables et bonhommes, elles cachent le pire des horreurs : tueurs en série, créatures de la nuit, bouche des enfers, Deadites, François Bayrou… C'est pourquoi il vaut mieux avoir le coup d'œil pour repérer ce qui ne va pas.
Et c'est exactement ce dont vous aurez besoin dans The Cabin Factory, un jeu d'observation qui rappelle l'inquiétant The Exit 8. Le joueur n'a qu'un seul boulot, mais essentiel : est-ce que cette cabane est hantée ? Il faut simplement répondre par oui ou par non, après examen minutieux de la cabane en question. Plus facile à dire qu'à faire…
Il faudra faire preuve d'observation pour repérer les petits détails bizarres et les mouvements étranges des habitants des lieux. En signalant correctement 8 cabanes, la partie est gagnée. Mais pourrez-vous tenir jusque là ? C'est tout l'enjeu de The Cabin Factory qui pourrait bien vous tenir éveillé pendant une soirée pour le petit prix de 2,69 €.
Short Trip, un petit voyage pour respirer
Bruit. Fureur. Trump. Troubles. Chaos. Confusion. Tout ça, ça fait peur et pour échapper à un monde décidément bien pourri, pourquoi ne pas s'évader avec Short Trip ? Ce jeu conçu par le développeur australien Alexander Perrin est un « voyage panoramique » dans lequel le joueur contrôle un tramway. L'objectif est tout simple, il faut embarquer des chats et admirer le paysage.
Le monde de Short Trip est dessiné à la main, il a été conçu pour souffler après une rude journée de boulot. S'il existe sous une forme gratuite depuis quelques temps, cette nouvelle version vendue sur Steam (1,79 €, vous n'allez pas vous ruiner) contient un mode « Horaires » qui synchronise les horaires de passage avec l'horloge de l'ordinateur. Il faut arriver à l'heure prévue pour faire grimper le score.
En bonus, il y a un aperçu du making-of du jeu. Tout cela a l'air bien sympa et puis franchement, que ne ferait-on pas pour des chats.
Dans le reste de l'actu déchaînée
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- Balatro s'est trouvé une petite place dans Cyberpunk 2077 ! Des cartes Joker ont été cachées partout dans Night City. Plus d'infos par là.
- The Witcher IV s'annonce grandiose avec Ciri aux commandes. Premier trailer à admirer dans cette actu.
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osef
Paramount Pictures a organisé un concours de Noël avec comme cadeau un pull moche à l'effigie de Sonic. La version alpha du premier film, celui avec des dents.
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